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CONSTANCE ZIEGLER – ARTISTE-DESIGNER

Depuis son plus jeune âge, Constance est une passionnée.
Elle évolue dans une famille d’artistes où les moments de loisirs tournent autour de la création. Un amour de l’Art qui l’amènera à intégrer la prestigieuse école ESAG Penninghen, à Paris, en 2004.
Durant ses cinq années d’études, elle profitera de chaque période de vacances pour travailler auprès d’artistes plasticiens, artistes peintres et photographes.

Diplomée avec mention, elle s’installera  très vite dans un atelier au sein d’un lieu atypique, situé à Vincennes, où une centaine d’artistes vivent, créent, partagent et évoluent ensembles. Elle y vivra plusieurs années et participera à diverses projets artistiques d’une grande envergure.
En parallèle, elle est graphiste freelance et continue de se développer dans de multiples projets créatifs.

Prise de passion pour le cinéma, elle intègrera l’école supérieure d’audiovisuelle ESAV de Toulouse en 2013, et obtiendra son diplôme en 2016.
En parallèle, elle commencera à travailler au côté de l’artiste Philippe Pasqua en tant que directrice artistique et assistante sur de nombreux projets.
Captivée par son métier et par l’artiste, elle travaillera à ses côtés durant une dizaine d’années.
Constance trouvera ensuite son propre atelier, un lieu unique sous les grottes de la Roche Guyon, où elle trouvera une source infinie d’inspirations pour s’adonner, corps et âmes, à la peinture.
Par hasard, elle découvre une technique qui la séduit immédiatement, le tufting.
De la peinture à l’huile elle passera à la peinture au fil, qui lui apporte des possibilités infinies, de textures, de formes, de lumières et de couleurs.
L’artiste pioche dans ses bobines comme dans des pots de peinture, offrant à la couleur et à la texture une place de choix dans son processus artistique.
Elle explore sans relâche la technique de la tapisserie moderne, se munissant de son pistolet à tufter pour métamorphoser ses dessins en pièce unique.

La dimension sensorielle de ses œuvres est aussi importante que son esthétisme, le contact est volontairement désacralisé par la destination même du tapis et de l’objet, bousculant notre rapport à l’œuvre d’art.